MARIE TELLE QUE VOUS NE L’AVEZ JAMAIS VUE
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Voici les dates des 7 séquences en visio conférences de 18h30 à 19h 30 :
vendredi 27/11/2020 : Déconstruire les images pieuses et revenir aux évangiles
lundi 30/11/2020 : Déconstruire ce que l’on fait dire aux textes
jeudi 03/12/2020 : Déconstruire le modèle du féminin
jeudi 10/12/2020 : Déconstruire le programme théologique du Magnificat
lundi 14/12/2020 : Déconstruire le modèle du disciple
jeudi 17/12/2020 : Déconstruire les inflations cléricales
lundi 21/12/2020 : Reconstruire la figure de Marie : Marie féministe
Principaux textes des évangiles servant de support à Marie telle qu’on ne l’a jamais vue
Marc 3, 31-35 :
« Sa mère et ses frères arrivent et, se tenant dehors, ils le firent appeler.
Il y avait une foule assise autour de lui et on lui dit : “Voilà que ta mère et tes frères et tes sœurs sont là dehors qui te cherchent.”
Il leur répond : “Qui est ma mère ? Et mes frères ?”
Et, promenant son regard sur ceux qui étaient assis en rond autour de lui, il dit : “Voici ma mère et mes frères.
Quiconque fait la volonté de Dieu, celui-là m’est un frère et une sœur et une mère.” »
Marc 6, 1-6a :
« Étant sorti de là, il se rend dans sa patrie, et ses disciples le suivent.
Le sabbat venu, il se mit à enseigner dans la synagogue, et le grand nombre en l’entendant étaient frappés et disaient : “D’où cela lui vient-il ? Et qu’est-ce que cette sagesse qui lui a été donnée et ces grands miracles qui se font par ses mains ?
Celui-là n’est-il pas le charpentier, le fils de Marie, le frère de Jacques, de Joset, de Jude et de Simon ? Et ses sœurs ne sont-elles pas ici chez nous ?” Et il étaient choqués à son sujet.
Et Jésus leur disait : “Un prophète n’est méprisé que dans sa patrie, dans sa parenté et dans sa maison.”
Et il ne pouvait faire là aucun miracle, si ce n’est qu’il guérit quelques infirmes en leur imposant les mains.
Et il s’étonna de leur manque de foi. »
Matthieu 1, 1-18
« Livre de la genèse de Jésus Christ, fils de David, fils d’Abraham :
Abraham engendra Isaac, Isaac engendra Jacob, Jacob engendra Juda et ses frères,
Juda engendra Pharès et Zara, de Tamar, Pharès engendra Esrom, Esrom engendra Aram,
Aram engendra Aminadab, Aminadab engendra Naasson, Naasson engendra Salmon,
Salmon engendra Booz, de Rahab, Booz engendra Jobed, de Ruth, Jobed engendra Jessé,
Jessé engendra le roi David. David engendra Salomon, de la femme d’Urie,
Salomon engendra Roboam, Roboam engendra Abia, Abia engendra Asa,
Asa engendra Josaphat, Josaphat engendra Joram, Joram engendra Ozias,
Ozias engendra Joatham, Joatham engendra Achaz, Achaz engendra Ezéchias,
Ezéchias engendra Manassé, Manassé engendra Amon, Amon engendra Josias,
Josias engendra Jéchonias et ses frères ; ce fut alors la déportation à Babylone.
Après la déportation à Babylone, Jéchonias engendra Salathiel, Salathiel engendra Zorobabel,
Zorobabel engendra Abioud, Abioud engendra Eliakim, Eliakim engendra Azor,
Azor engendra Sadok, Sadok engendra Akhim, Akhim engendra Elioud,
Elioud engendra Eléazar, Eléazar engendra Matthan, Matthan engendra Jacob,
Jacob engendra Joseph, l’époux de Marie, de laquelle naquit Jésus, que l’on appelle Christ.
Le total des générations est donc : d’Abraham à David, quatorze générations ; de David à la déportation de Babylone, quatorze générations ; de la déportation de Babylone au Christ, quatorze générations.
Or telle fut la genèse de Jésus Christ. Marie, sa mère, était fiancée à Joseph : or, avant qu’ils eussent mené vie commune, elle se trouva enceinte par le fait de l’Esprit Saint. »
Matthieu 12, 46-50 :
« Comme il parlait encore aux foules, voici que sa mère et ses frères se tenaient dehors, cherchant à lui parler.
A celui qui l’en informait Jésus répondit : “Qui est ma mère et qui sont mes frères ?”
Et tendant sa main vers ses disciples, il dit : “Voici ma mère et mes frères.
Car quiconque fait la volonté de mon Père qui est aux cieux, celui-là m’est un frère et une sœur et une mère.” »
Matthieu 13, 55-56 :
« Celui-là n’est-il pas le fils du charpentier ? N’a-t-il pas pour mère la nommée Marie, et pour frères Jacques, Joseph, Simon et Jude ?
Et ses sœurs ne sont-elles pas toutes chez nous ? D’où lui vient donc tout cela ?” »
Luc 1, 24-56 :
« Quelque temps après, sa femme Élisabeth conçut, et elle se tenait cachée cinq mois durant.
“Voilà donc, disait-elle, ce qu’a fait pour moi le Seigneur, au temps où il lui a plu d’enlever mon opprobre parmi les hommes !”
Le sixième mois, l’ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, du nom de Nazareth,
à une vierge fiancée à un homme du nom de Joseph, de la maison de David ; et le nom de la vierge était Marie.
Il entra et lui dit : “Réjouis-toi, comblée de grâce, le Seigneur est avec toi.”
A cette parole elle fut toute troublée, et elle se demandait ce que signifiait cette salutation.
Et l’ange lui dit : “Sois sans crainte, Marie ; car tu as trouvé grâce auprès de Dieu.
Voici que tu concevras dans ton sein et enfanteras un fils, et tu l’appelleras du nom de Jésus.
Il sera grand, et sera appelé Fils du Très-Haut. Le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David, son père ;
il régnera sur la maison de Jacob pour les siècles et son règne n’aura pas de fin.”
Mais Marie dit à l’ange : “Comment cela sera-t-il, puisque je ne connais pas d’homme ?”
L’ange lui répondit : “L’Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c’est pourquoi l’être saint qui naîtra sera appelé Fils de Dieu.
Et voici qu’Élisabeth, ta parente, vient, elle aussi, de concevoir un fils dans sa vieillesse, et elle en est à son sixième mois, elle qu’on appelait la stérile ;
car rien n’est impossible à Dieu.”
Marie dit alors : “Je suis la servante du Seigneur ; qu’il m’advienne selon ta parole !” Et l’ange la quitta.
En ces jours-là, Marie partit et se rendit en hâte vers la région montagneuse, dans une ville de Juda.
Elle entra chez Zacharie et salua Élisabeth.
Et il advint, dès qu’Élisabeth eut entendu la salutation de Marie, que l’enfant tressaillit dans son sein et Élisabeth fut remplie d’Esprit Saint.
Alors elle poussa un grand cri et dit : “Bénie es-tu entre les femmes, et béni le fruit de ton sein!
Et comment m’est-il donné que vienne à moi la mère de mon Seigneur ?
Car, vois-tu, dès l’instant où ta salutation a frappé mes oreilles, l’enfant a tressailli d’allégresse en mon sein.
Oui, bienheureuse celle qui a cru en l’accomplissement de ce qui lui a été dit de la part du Seigneur !”
Marie dit alors : “Mon âme exalte le Seigneur,
et mon esprit tressaille de joie en Dieu mon sauveur,
parce qu’il a jeté les yeux sur l’abaissement de sa servante. Oui, désormais toutes les générations me diront bienheureuse,
car le Tout-Puissant a fait pour moi de grandes choses. Saint est son nom,
et sa miséricorde s’étend d’âge en âge sur ceux qui le craignent.
Il a déployé la force de son bras, il a dispersé les hommes au cœur superbe.
Il a renversé les potentats de leurs trônes et élevé les humbles,
Il a comblé de biens les affamés et renvoyé les riches les mains vides.
Il est venu en aide à Israël, son serviteur, se souvenant de sa miséricorde, –
selon qu’il l’avait annoncé à nos pères – en faveur d’Abraham et de sa postérité à jamais !”
Marie demeura avec elle environ trois mois, puis elle s’en retourna chez elle. »
Luc 2, 1-7 :
« Or, il advint, en ces jours-là, que parut un édit de César Auguste, ordonnant le recensement de tout le monde habité.
Ce recensement, le premier, eut lieu pendant que Quirinius était gouverneur de Syrie.
Et tous allaient se faire recenser, chacun dans sa ville.
Joseph aussi monta de Galilée, de la ville de Nazareth, en Judée, à la ville de David, qui s’appelle Bethléem, – parce qu’il était de la maison et de la lignée de David –
afin de se faire recenser avec Marie, sa fiancée, qui était enceinte.
Or il advint, comme ils étaient là, que les jours furent accomplis où elle devait enfanter.
Elle enfanta son fils premier-né, l’enveloppa de langes et le coucha dans une crèche, parce qu’ils manquaient de place dans la salle. »
Luc 2, 15-19 :
« Et il advint, quand les anges les eurent quittés pour le ciel, que les bergers se dirent entre eux : “Allons jusqu’à Bethléem et voyons ce qui est arrivé et que le Seigneur nous a fait connaître.”
Ils vinrent donc en hâte et trouvèrent Marie, Joseph et le nouveau-né couché dans la crèche.
Ayant vu, ils firent connaître ce qui leur avait été dit de cet enfant ;
et tous ceux qui les entendirent furent étonnés de ce que leur disaient les bergers.
Quant à Marie, elle conservait avec soin toutes ces choses, les méditant en son cœur. »
Luc 2, 33-35 :
« Son père et sa mère étaient dans l’étonnement de ce qui se disait de lui.
Syméon les bénit et dit à Marie, sa mère : “Vois ! cet enfant doit amener la chute et le relèvement d’un grand nombre en Israël ; il doit être un signe en butte à la contradiction,
et toi-même, une épée te transpercera l’âme ! – afin que se révèlent les pensées intimes de bien des cœurs.” »
Luc 2, 41-52 :
« Ses parents se rendaient chaque année à Jérusalem pour la fête de la Pâque.
Et lorsqu’il eut douze ans, ils y montèrent, comme c’était la coutume pour la fête.
Une fois les jours écoulés, alors qu’ils s’en retournaient, l’enfant Jésus resta à Jérusalem à l’insu de ses parents.
Le croyant dans la caravane, ils firent une journée de chemin, puis ils se mirent à le rechercher parmi leurs parents et connaissances.
Ne l’ayant pas trouvé, ils revinrent, toujours à sa recherche, à Jérusalem.
Et il advint, au bout de trois jours, qu’ils le trouvèrent dans le Temple, assis au milieu des docteurs, les écoutant et les interrogeant ;
et tous ceux qui l’entendaient étaient stupéfaits de son intelligence et de ses réponses.
A sa vue, ils furent saisis d’émotion, et sa mère lui dit : “Mon enfant, pourquoi nous as-tu fait cela ? Vois ! Ton père et moi, nous te cherchons, angoissés.”
Et il leur dit : “Pourquoi donc me cherchiez-vous ? Ne saviez-vous pas que je dois être dans la maison de mon Père ?”
Mais eux ne comprirent pas la parole qu’il venait de leur dire.
Il redescendit alors avec eux et revint à Nazareth ; et il leur était soumis. Et sa mère gardait fidèlement toutes ces choses en son cœur.
Quant à Jésus, il croissait en sagesse, en taille et en grâce devant Dieu et devant les hommes. »
Jean 2,1-11 :
« Le troisième jour, il y eut des noces à Cana de Galilée, et la mère de Jésus y était.
Jésus aussi fut invité à ces noces, ainsi que ses disciples.
Or il n’y avait plus de vin, car le vin des noces était épuisé. La mère de Jésus lui dit : “Ils n’ont pas de vin.”
Jésus lui dit : “Que me veux-tu, femme ? Mon heure n’est pas encore arrivée.”
Sa mère dit aux servants : “Tout ce qu’il vous dira, faites-le.”
Or il y avait là six jarres de pierre, destinées aux purifications des Juifs, et contenant chacune deux ou trois mesures.
Jésus leur dit : “Remplissez d’eau ces jarres.” Ils les remplirent jusqu’au bord.
Il leur dit : “Puisez maintenant et portez-en au maître du repas.” Ils lui en portèrent.
Lorsque le maître du repas eut goûté l’eau changée en vin – et il ne savait pas d’où il venait, tandis que les servants le savaient, eux qui avaient puisé l’eau – le maître du repas appelle le marié
et lui dit : “Tout homme sert d’abord le bon vin et, quand les gens sont ivres, le moins bon. Toi, tu as gardé le bon vin jusqu’à présent !”
Tel fut le premier des signes de Jésus, il l’accomplit à Cana de Galilée et il manifesta sa gloire et ses disciples crurent en lui. »
Jean 19, 25-28 :
« Or près de la croix de Jésus se tenaient sa mère et la sœur de sa mère, Marie, femme de Clopas, et Marie de Magdala.
Jésus donc voyant sa mère et, se tenant près d’elle, le disciple qu’il aimait, dit à sa mère : “Femme, voici ton fils.”
Puis il dit au disciple : “Voici ta mère.” Dès cette heure-là, le disciple l’accueillit comme sienne.
Après quoi, sachant que désormais tout était achevé pour que l’Écriture fût parfaitement accomplie, Jésus dit : “J’ai soif.” »
Galates 4, 4-5 :
« Mais quand vint la plénitude du temps, Dieu envoya son Fils, né d’une femme, né sujet de la loi,
afin de racheter les sujets de la Loi, afin de nous conférer l’adoption filiale. »
1Timothée 2,5-6a :
« Car Dieu est unique, unique aussi le médiateur entre Dieu et les hommes, le Christ Jésus, homme lui-même,
qui s’est livré en rançon pour tous. »
Sauf erreur de ma part, il me semble que la dernière référence est chapitre 2 de la première lettre à Timothée : 1Tm 2, 5-6a.
Excusez-moi pour la banalité de cette intervention devant la gravité du sujet abordé par vous au cours de ces 7 conférences. Bravo !
Tu as tout à fait raison Eugène ! Si nous avons donné une autre référence, c’était bien sûr une erreur.
La citation exacte du verset de cette première épître à Timothée chapitre 2,5 est ” car Dieu est unique, unique aussi le médiateur entre Dieu et les hommes, le Christ Jésus”.
Merci de nous suivre dans cette aventure ! Votre présence à Christiane et toi me rappelle les belles années où nous suivions les cours de théologie ensemble sur les bancs de la fac 🙂