En 1991, un prêtre aveyronnais observait l’évolution de notre Église et la disparition des vocations sacerdotales, avec simplicité et une très grande honnêteté. Comme le mentionne un ami dans le courriel auquel il joint des extraits de l’ouvrage : Routes et sentiers d’une vie, « ce n’était pas un contestataire mais un curé du Rouergue qui pose le problème dans sa simplicité la plus totale. »

Les années passent, les institutions ecclésiales refusent de se saisir de la question de l’apport des femmes à la communauté… et les églises se vident.

Notre ami, qui cumule les titres universitaires et a occupé une partie de sa retraite à faire des études de théologie (l’autre à publier des ouvrages sur sa région) écrit pour notre plus grande joie : « Je vous rejoins car il faut aider l’Église, notre Église, à faire sa mutation. »

Merci J.P. B.

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