→ ANALYSE. Femmes dans l’Église, la « méthode Soupa » en question

L’initiative s’inscrit dans la droite ligne de la candidature d’Anne Soupa à l’archevêché de Lyon, cette dernière figurant parmi les cinq organisatrices de l’événement. Mais cette nouvelle action dépasse très largement les premières revendications de la théologienne de 73 ans, dont le manifeste du 25 mai ne réclamait pas l’accès au ministère ordonné pour les femmes. « Prenant acte que deux papes ont déclaré close la question de l’accès des femmes au sacerdoce », Anne Soupa avait alors limité ses revendications à l’obtention de postes de gouvernance dans l’Église pour les femmes laïcs. Sa ligne : appeler à mieux distinguer sacerdoce et gouvernance, « pour faire une place aux femmes dans l’Église ».

→ ENTRETIEN. « L’enjeu n’est pas de “cléricaliser” les femmes, mais de décléricaliser l’Église »

Deux mois après, le ton comme le fond ont muté : « J’étais la première à briser l’interdit, donc je me suis concentrée dans un premier temps sur les questions de gouvernance pour les femmes laïcs. Notre nouveau manifeste questionne beaucoup plus largement la

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