Qui suis-je?

Je suis catholique. Je suis divorcée.

J’ai trois enfants et quatre petits-enfants.Je suis enseignante spirituelle, thérapeute de l’âme depuis plus de 20ans et prédicatrice laïque.J’ai écrit trois livres dont le dernier porte sur Marie-Madeleine:Moi, Mariam mé, évangile de l’amour incarné de Marie Madeleine.

Ma vie spirituelle

Je crois que le Seigneur, Jésus-Christ, est le chemin, la vérité et la vie afin de nous permettre de connaître et d’aller vers Dieu.Je crois en Jésus-Christ ressuscité après être descendu dans les ténèbres le samedi de Pâques,pour y mettre La lumière.Je crois en une Église unie, universelle, sous la parole de notre Seigneur Jésus-Christ, qui donne la parole aux femmes.Je crois en une humanité, égale aux yeux du Seigneur Jésus-Christ, au service de Sa lumière et unie dans Sa parole.

Mon appel à être prédicatrice laïque

Jésus, notre Seigneur, n’a pas simplement parlé pour les hommes. Il a aussi parlé pour les femmes. Annexe 2: ministère de la prédication 7 femmes. Raison pour laquelle beaucoup de femmes le suivaient. Il a donné aux femmes leur place. Le Seigneur allait à la rencontre des femmes, comme Il l’a fait avec la Samaritaine. En 2016, le pape François a officiellement élevé la mémoire2 de Marie de Magdala, le 22juillet, au rang de fête dans le calendrier liturgique. Le décret qui officialise la décision la décrit comme«premier témoin et évangéliste de la résurrection du Seigneur» et rappelle qu’elle «est appelée par saint Grégoire le Grand “témoin de la miséricorde divine” et par saint Thomas d’Aquin “l’apôtre des apôtres”». Dans un article qui accompagne le décret, Marie-Madeleine est même présentée comme «un exemple d’évangélisatrice vraie et authentique, c’est-à-dire, une évangéliste qui annonce le joyeux message central de Pâques», celui de la résurrection des morts. François a pris cette décision précisément dans le contexte du jubilé de la miséricorde  pour signifier l’importance de Marie-Madeleine, qu’il appelle aussi apôtre de l’espérance. Pourquoi, aujourd’hui, les femmes ne pourraient-elles pas évangéliser comme Myriam de Magdala l’a fait? Comme elle, les femmes ont à exprimer ce qu’elles ressentent, vivent à travers leur cœur,leur corps, leur Esprit: le message du Seigneur.  Comme elle, j’annonce la Bonne Nouvelle, la parole du Seigneur, sans pour autant désirer être ordonnée. Puisqu’il faut bien le nommer, je me présente comme «prédicatrice laïque» et, par cette candidature, je demande la reconnaissance officielle de ce ministère que j’accomplis depuis plus de vingt ans, après plusieurs appels intimes du Seigneur.

La prédicatrice laïque que je suis

À partir de mes 14ans et pendant plus de 20ans, jusqu’à sa mort, j’ai eu comme confesseur,confident et ami le chanoine Jean Popot, curé de l’Église de la Madeleine à Paris. Ensemble, nous avons lu et travaillé la simplicité des évangiles du Seigneur. Il me faisait lire ses prédications. Depuis plus de 20ans, j’enseigne la parole, les messages du Seigneur, au cours de mes stages.Je veux, à partir de ce trajet, être une femme évangélisante, prêchant la Bonne Nouvelle que j’ai reçue, avec mon humanité, mon écoute aux autres et ma simplicité, afin de participer à l ’évangélisation de la parole du Seigneur, comme nous le demande le pape François.J’enseigne, à tous les êtres que j’approche et qui m’approchent, la possibilité d’unir leur vie quotidienne au message du Seigneur, afin qu’ils et elles deviennent plus vivants dans leur proprevie.J’aime à unir le concret de la vie à la vie spirituelle. Cet immense cadeau que j’ai reçu du Seigneur, je sais que j’ai à l’offrir à ceux et celles qui veulent le recevoir.

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